Un bon petit diable – 1963 > synopsis et distribution

1982 – D’une réalité pygméenne au pouvoir de l’imagination

« Ce Bon Petit Diable est le représentant d’une esthétique des marionnettes que les disciples de Marcelle Moynier ont maintenant dépassée : esthétique du théâtre en petit qui reproduit le grand par l’illusion d’optique.

Les scènes les plus réussies sont précisément celles qui (...), abandonnant l’esthétique du théâtre en miniature et de sa mimesis tributaire des limites de la technique, optent pour un théâtre de marionnettes plus spécifique : ainsi, la danse des diables sur la Méphisto-Valse de Liszt, à la fin du premier acte et celle des pièces de monnaie juste avant l’épilogue donnent une idée de ce que peut faire la marionnette à fils quand on quitte l’imitation de la ‘réalité’ pour passer à l’onirique et au fantastique. »

André Wyss, Journal de Genève, 18.10.1982