Gilgamesh – 2007 > synopsis et distribution

Lumière & éclairages

« L’idée des sables désertiques s’est ajoutée à la fréquentation des collections archéologiques du Louvre portant sur la civilisation babylonienne : elle trouve sa correspondance dans la couleur blonde du papier kraft évoquant le sable, ce qui s’y cache, y est enfoui et s’y métamorphose.» Guy Jutard

Eclairages rasants, couloirs de lumière que produisent des latéraux ou des douches pour gommer au maximum les manipulateurs, gobos assurant la structuration graphique de l’espace, sources mobiles génératrices du théâtre d’ombres figurant les dieux…

Ce large éventail de techniques a joué un rôle essentiel pour magnifier la coloration naturelle du papier, parfois teintée de nuances froides en écho aux rares couleurs déployées dans le lointain.

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