«Il y a chez M. Stryjenski mieux que les dons d’un décorateur, un vrai sens de la mise en page et un métier qui, sous les aspects les plus variés, n’ignore rien des ressources de la scène. L’implantation se prête aux beaux éclairages, et il advient que le trompe-l’œil, avec ses personnages immobiles, confère soudain au plateau minuscule les proportions d’un vaste théâtre. »

Journal de Genève, 30.01.1950

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Le Chat botté – 1950 > synopsis et distribution
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