Little Nemo – 1997 > synopsis et distribution

Tout y est

« Ceux qui ont feuilleté ses planches n’en croiront pas leurs yeux en voyant l’adaptation qu’en propose Sara Barberis.

Le Slumberland a été reconstruit avec fidélité par Christophe Kiss. Les architectures Art Nouveau, les couleurs tendres, les paysages oniriques font rêver les enfants. Le cheval de la nuit vole dans la voie lactée, des sirènes ondulent dans une mer turquoise, et le jeune rêveur entre dans un cœur plus grand que lui pour rejoindre sa princesse. »

Elisabeth Chardon, 14.10.1997

 

Little Nemo « ’manque’ ainsi heureusement de cet élément éblouissant qu’on trouve trop souvent dans des productions semblables ainsi qu’à Eurodisney. »

Roger Gaberell, décembre 1997

Chaque semaine, de 1905 à 1927, Winsor McCay, « génial bédéiste », publie une page des aventures de Little Nemo in Slumberland dans le supplément dominical du New York Herald.

« Winsor McCay a imaginé un petit personnage qui s’endort pour retrouver une belle princesse. Mais à la fin de chacune des pages, un événement imprévu le réveille. Qu’il s’agisse de ses parents, d’un cauchemar ou, bien plus grave, du chevalier de l’aube. Celui-ci, égal à Cerbère, surveille la porte des songes et empêche les enfants d’accéder au royaume des rêves.

(…) Nemo doit franchir bien des obstacles avant de retrouver sa belle princesse. Dans son périlleux voyage, il est accompagné du gentil docteur Pill qui lui prescrit des somnifères afin qu’il puisse continuer son chemin. Mais l’exécrable Flip et le chevalier de l’aube veillent à démolir les rêves, à tourner les événements en cauchemars. »

Isabelle Bratschi, Le Courrier

Dr Pill

Flip