Aladin et la lampe merveilleuse – 1948
Synopsis
Lors de la reprise de 1966, le journaliste de La Suisse publie un savoureux résumé de la pièce :
« On se souvient qu’Aladin est commis par un magicien (méchant) pour chercher une lampe qui donne la toute-puissance.
Aladin (bon) garde la lampe pour lui et cela lui permet de demander la main de Badroulboudour (belle), la fille du sultan (sage) qui allait accorder la princesse au fils (bébête) du vizir (ambitieux). Beau et riche comme il l’est, Aladin conquiert la belle et ils vont vivre heureux et, l’histoire ne le dit pas mais on peut le supposer, avoir beaucoup d’enfants.
Mais le magicien veille et par entourloupette récupère sa lampe. Cri unanime des adultes dans la salle : quelle gourde, cette princesse ! Quant aux enfants, ils apprennent pour la première fois peut-être, qu’on ne peut pas se fier aux femmes.
Grâce à cette lampe, le magicien fait transporter le château au cœur de l’Afrique. Mais on sait qu’Aladin a gardé un anneau magique également qui lui permet de se débrouiller dans sa nouvelle existence. Il rejoint la princesse qui a réussi à saouler le magicien et reprendre la lampe. Deuxième leçon pour les enfants : ne pas abuser des boissons alcooliques.
La situation se rétablit sur l’heure, au grand soulagement des petits et grands. »
- Adaptation et musique : Laure Choisy, d’après Les mille et une nuits
- Mise en scène : Ingeborg Ruvina
- Décors et poupées : Jean-Paul Burckhardt, reprise Eric Poncy 1966
- Costumes : Cécile Olivet-Binet
Marionnettes à fils