Les limites: 2 – Les poupées
« Quant aux têtes de marionnettes sculptées par Madeleine Perrotta, elles sont criantes de vérité et de vie. » A.T., La Suisse, 12.01.1973
« Fleur de jais, conte traditionnel, demande des personnages réalistes, ce qui n’équivaut pas à une copie pure et simple du réel.
Pour créer ces poupées, le céramiste a mis son art directement au service de son travail de décorateur : c’est en terre, en effet, qu’il a conçu les maquettes de ses personnages qui ont été ensuite sculptées dans du bois.
Sur une scène de théâtre de marionnettes, il lui paraît tout aussi primordial que l’expression des marionnettes soit lisible à distance : à cette fin, J-.C. de Crousaz attache un soin particulier aux têtes de ses poupées et les conçoit volontairement grandes par rapport au reste du corps. »
Jacqueline Powell, programme de saison, reprise de 1986