Fleur de jais – 1973

Synopsis

Vieillissant, l’Empereur Vert, père des jumelles Ioana et Domnica, se préoccupe de sa succession. Encouragé par Fleur de jais, un cheval enchanté, son neveu Aléodor décide de lui venir en aide.

Mais sur la route qui le mène au château de l’Empereur Vert, Aléodor tombe sous la coupe du rusé Glabre. Menaçant de s’en prendre à sa famille, Le Glabre force Aléodor à devenir son écuyer tandis qu’il se fait passer pour le prétendant. Lorsque tous deux arrivent à destination, l’Empereur Vert ne s’aperçoit pas de la supercherie, à peine s’étonne-t-il des manières grossières de ce neveu.

Craignant d’être démasqué, Le Glabre envoie Aléodor conquérir la Princesse noire, ensorcelée par son père. Au terme de trois épreuves qu’il va remporter grâce à des adjuvants aidés en chemin, avant de rencontrer le Glabre, Aléodor délivre la Princesse noire et la conduit au château de l’Empereur Vert.

L’arrivée surprise de l’Empereur Rouge, père d’Aléodor, précipite la chute du Glabre. Alors qu’il se rue sur Aléodor avec un sabre, il est emporté dans les airs par le fidèle Fleur de jais. Ses machinations sont dévoilées, l’imposteur est démasqué et Aléodor retrouve son rang de prince héritier.

Adaptation : Nicole Chevallier d’après un conte roumain
Mise en scène : Nicole Chevallier
Décors et poupées : Jean-Claude de Crousaz
Marionnettes : Nicolas Coundouriadès et Pierre Droin
Têtes : Madeleine Perrotta
Costumes : Yseut de Crousaz
Animaux : Marie-Thérèse Archinard et Irina Dumitriu
Lumières : Daniel Dubois

Marionnettes à fils

Les limites: 4 – La mise en scène

« D’autres limites viennent, elles, de la mise en scène.
L’implantation du décor émane d’une étroite collaboration avec le metteur en scène. Idéalement, il faudrait pouvoir monter un décor tout en voyant les protagonistes du conte s’y mouvoir, ‘le décor ne prend vie que lorsque les marionnettes s’animent.’ »

Jacqueline Powell, 1986