Un bon petit diable – 1963 > synopsis et distribution

« Une vérité qui dépasse celle de la vie quotidienne »

« On peut toujours se demander si les œuvres de la Comtesse de Ségur, fortement marquées par la morale et l’esprit du 19e siècle et qui firent les délices de notre lointaine enfance, conservent leur pouvoir d’enchantement sur le jeune public de l’âge de la bande dessinée et du dessin animé.

Tel est bien le cas, du moins pour les enfants de 10 à 12 ans. »

« Car en dépit du temps et des modes, en dépit de tout le modernisme qui a envahi jusqu’aux livres d’enfants, les récits de la comtesse de Ségur font aujourd’hui figure de classiques. C’est qu’ils ont été écrits tout près de la vie et que les petits lecteurs y reconnaissent des traits et des accents qui répondent à leurs expériences et aux mouvements de leurs cœurs. »

L'Amateur, Journal de Genève, 8.11.1963

  • « Il est plus difficile, pour des marionnettes, d’interpréter une comédie telle que celle-ci, que d’autres œuvres qui demandent beaucoup plus d’éléments musicaux, scéniques ou autres…
    « Il est plus difficile, pour des marionnettes, d’interpréter une comédie telle que celle-ci, que d’autres œuvres qui demandent beaucoup plus d’éléments musicaux, scéniques ou autres…
  • … la comédie exigeant des subtilités d’attitude, de mouvement, d’expression qui demandent beaucoup plus de virtuosité dans la manipulation. »
    … la comédie exigeant des subtilités d’attitude, de mouvement, d’expression qui demandent beaucoup plus de virtuosité dans la manipulation. »