1940’s : Acmé féerique > synopsis et distribution

1956 – Lully, le petit musicien

  • « Il n’est au demeurant aucun tableau qui n’ait ses mérites. Celui du couvent est la poésie même »…
    « Il n’est au demeurant aucun tableau qui n’ait ses mérites. Celui du couvent est la poésie même »…
  • … « sitôt après, le spectacle des baladins est une merveille de mouvement et de drôlerie, soutenue par les belles couleurs de M. Poncy »…
    … « sitôt après, le spectacle des baladins est une merveille de mouvement et de drôlerie, soutenue par les belles couleurs de M. Poncy »…
  • … « Et quel style dans le tableau chez la Grande Demoiselle ! »…
    … « Et quel style dans le tableau chez la Grande Demoiselle ! »…
  • … « Comme pour mieux mettre en valeur le pittoresque des cuisines avec un second plan qui est ombre et lumière de la plus savoureuse composition. »
    … « Comme pour mieux mettre en valeur le pittoresque des cuisines avec un second plan qui est ombre et lumière de la plus savoureuse composition. »

« Pendant l’été 1955, le 24 août, nous fûmes invités, Roger Ferrier et moi-même, à Begnins où Marcelle Moynier avait loué une maison pour l’été.
Dans cette belle campagne vaudoise qui domine le lac, nous discutâmes d’un nouveau spectacle dont Laure Choisy venait d’achever le texte. »

Cloître de couvent florentin, tréteaux forains sur une place de la ville, appartements princiers de la Grande Mademoiselle, cuisines de son château et jardins royaux « où Lully faisait apparaître, en gloire, dans un soleil rayonnant, le jeune roi » : « M. Poncy est incontestablement l’un de nos meilleurs décorateurs » s’enthousiasme Eugène Fabre dans le Journal de Genève, « qui a conçu les décors avec un sens heureux de l’implantation et avec, ici et là, d’étonnants effets de profondeur. »