Début des 70’s. La reconnaissance morale et financière du DIP, la professionnalisation de Nicole Chevallier « reconnue par Marcelle Moynier comme étant la personne à qui, un jour, elle pourrait peut-être transmettre le flambeau qu’elle avait enflammé », l’instauration de la Fondation des Marionnettes de Genève visant à assurer la pérennité des créations avivent le désir d’une vraie scène.

Un premier projet est tracé… pour lequel des crédits seront votés en 1980, un an après le formidable succès des manifestations liées au jubilé du Théâtre.

L’emblématique Chat botté inaugure la salle en janvier 1984.