Un comédien-monde
Une vingtaine de minutes interprétées par des solistes.
Peu de mots, « comptines et bouts rimés, le chant et la musique y trouvent une place de choix », résume Bertrand Tappolet.
Pour être noble, l’exercice n’en est pas moins périlleux.
Les enfants « ne sont-ils pas sous-stimulés, sous-estimés, par l’aspect fabriqué – voire condescendant – d’une langue insistante, haut perchée, agrémentée d’onomatopées qui encombrent un spectacle presque toujours lisible sans parole ? » interroge ainsi Le Courrier.
« Le langage visuel tient compte des pouvoirs de compréhension et de la capacité d’attention des 1 à 3 ans.