« Oh, mais pousse-toi, mémé ! »
« – Pousse-toi, Grincheux, sinon je t’écrase le museau »
« – Aïe ! Dégage de mon herbe ou tu vas tâter de mon sabot. »
Fi de l’harmonie paisible chez les moutons.
« Les comédiens avaient besoin de répondant, en manipulant parfois les ruminants à coups de pied. La magie poétique, aérienne, du fil n’était pas envisageable. Il nous fallait quelque chose de plus vif, de plus direct et de plus solide. Les marionnettes à tringles se sont imposées. »
Pierre Monnerat