En 1973, une dernière modification des fils rend les marionnettes plus maniables :
« Par exemple, le serviteur noir, personnage que les enfants aiment beaucoup, a de si longues jambes, qu’il était très difficile à faire évoluer. »
« C’est un champ d’investigation pour l’imagination, des personnages à créer, ces paysages à inventer, et tous les problèmes pratiques posés par l’alchimie secrète d’un théâtre en miniature. (…)
– La télévision et ses émissions pour enfants porte-t-elle préjudice au théâtre de marionnettes ?
– Peut-être un peu… mais tout est tellement dépoétisé autour des enfants maintenant qu’ils aiment à retrouver ici le souffle des contes de fées. L’esprit enfantin n’a pas changé, lui. Et la marionnette, c’est plus vrai. Plus vrai qu’un écran de TV. »
Interview de Marcelle Moynier, 1969