Fleur de jais – 1973 > synopsis et distribution

Une « horlogerie de précision »

« Les répétitions et la mise en place ont pu commencer : il y eut 28 de ces séances de 3 à 4 heures.

Aux premières, le metteur en scène, Nicole Chevallier, a minuté chaque geste, chaque déplacement pour diriger ensuite la sonorisation, que l’on avait confiée à des comédiens genevois. Enfin vint l’étape de la synchronisation avec la musique, roumaine et authentique. Toute cette étonnante mécanique a demandé 8 mois de patience et de labeur. »

« Au total, une vingtaine de personnes collaborent à cette remarquable création, une des plus intéressantes de la saison sur les scènes genevoises (petites ou grandes), » souligne le journaliste de La Suisse.

 

 

« Surtout, on a l'impression qu'il y a là un formidable travail d'équipe et que tout le monde y a cru de son talent. »

A.T., La Suisse, 12.01.1973

  • « Des mois de mise au point, de répétitions, de réglages techniques, que sais-je encore, ont été nécessaires pour arriver à un résultat proprement étourdissant. »
    « Des mois de mise au point, de répétitions, de réglages techniques, que sais-je encore, ont été nécessaires pour arriver à un résultat proprement étourdissant. »