Une « horlogerie de précision »
« Les répétitions et la mise en place ont pu commencer : il y eut 28 de ces séances de 3 à 4 heures.
Aux premières, le metteur en scène, Nicole Chevallier, a minuté chaque geste, chaque déplacement pour diriger ensuite la sonorisation, que l’on avait confiée à des comédiens genevois. Enfin vint l’étape de la synchronisation avec la musique, roumaine et authentique. Toute cette étonnante mécanique a demandé 8 mois de patience et de labeur. »
« Au total, une vingtaine de personnes collaborent à cette remarquable création, une des plus intéressantes de la saison sur les scènes genevoises (petites ou grandes), » souligne le journaliste de La Suisse.
« Surtout, on a l'impression qu'il y a là un formidable travail d'équipe et que tout le monde y a cru de son talent. »
A.T., La Suisse, 12.01.1973