1940’s : Acmé féerique > synopsis et distribution

La Fête de juin 1914

  • Une centaine de rythmiciens en farandole les uns derrière les autres, c’était quelque chose de tellement merveilleux !...
    Une centaine de rythmiciens en farandole les uns derrière les autres, c’était quelque chose de tellement merveilleux !...
  • … On était complètement fous. Et même, on allait sur notre propriété qui était juste à côté...
    … On était complètement fous. Et même, on allait sur notre propriété qui était juste à côté...
  • ... Il y avait une atmosphère de gaieté, de gentillesse, d’enthousiasme qu’on ne peut pas oublier...
    ... Il y avait une atmosphère de gaieté, de gentillesse, d’enthousiasme qu’on ne peut pas oublier...
  • ... Quand le théâtre s’ouvrait, c’était une idée de M. Jaques. C’était grandiose. On voyait le lac avec la barque qui arrivait…
    ... Quand le théâtre s’ouvrait, c’était une idée de M. Jaques. C’était grandiose. On voyait le lac avec la barque qui arrivait…

« Le 1er acte, fait entièrement par la rythmique, représente l’un des souvenirs les plus vivants, surtout la fin, cette grande farandole à propos de la Révolution, ce ‘Ça ira’ qu’on m’avait fait l’honneur de conduire.

Nous traversions la scène, une centaine de rythmiciens en farandole les uns derrière les autres, c’était quelque chose de tellement merveilleux !

Mais la fin était aussi merveilleuse. Quand le théâtre s’ouvrait, c’était une idée de M. Jaques. C’était grandiose. On voyait le lac avec la barque qui arrivait… 

Et les répétitions… tout le monde chantait la Marche des grenadiers dans le parc Mon Repos, on était complètement fous. Et même, on allait sur notre propriété qui était juste à côté.
Il y avait une atmosphère de gaieté, de gentillesse, d’enthousiasme qu’on ne peut pas oublier. »

Marcelle Moynier