C’était la cohue !
« Pour L’Apothicaire de Haydn comme pour L’Imprésario de Mozart, les instrumentistes et les chanteurs, sous la baguette de Laure Choisy, envahissaient les coulisses où s'entassaient pour le moins une quinzaine d'exécutants avec les marionnettistes, les musiciens et les machinistes » note Eric Poncy.
En 1934, La Princesse Zélica, opéra-comique d’après Le Sage « nécessita le rassemblement de trente personnes, dont de nombreux éléments de l’Orchestre Romand, derrière le rideau de velours. »
L'Apothicaire (1933)
La Princesse Zélica (1934)